Blanche Rozan

Blanche Rozan była niewielką postacią we francuskim życiu muzycznym na przełomie XIX i XX wieku. Jej daty urodzenia i śmierci nie są znane.

Kariera

Blanche Rozan była studentką konserwatorium w Marsylii, gdzie studiowała kompozycję i organy u Henri Messerera (1838–1923).

W 1905 została mianowana profesorem fortepianu Konserwatorium w Marsylii.

Regularnie występowała na miejskich koncertach, zarówno jako pianistka, jak i organistka. Na pewien sens jej odbioru jako wykonawcy wskazują komentarze w czasopiśmie muzycznym Le Courrier Musical .

Na przykład z recenzji koncertu opublikowanej w 1904 roku:

Nous tenons cependant à signaler le mérite Exceptional de Mlle Blanche Rozan, organiste de grand talent, élève de M. Messerer et jouant comme lui du Bach et du Franck; elle s'est montrée très bonne pianiste et parfaite musicienne dans un récital donné salle Messerer il ya une quinzaine de jours. Seule de tous les virtuoses entendus ces deux derniers mois, elle a présenté au public un program de premier ordre et l'a parfaitement interpretacja: sonate op. 27 (Beethoven) jouée avec distribution et finesse, fantaisie chromatique et fugue interprétées avec toute la liberté et toute la puissance dramatique que comporte une œuvre aussi démesurée, et pour finir prélude, choral et fugue de Franck, où Mlle Rozan a su metttre une technology irréprochable et une sonorité chaude et veloutée au service d'une Intelligence musicale très sûre et très largement comréhensible.

A recenzja z 1909 roku stwierdziła:

Sans faire partie de l'orchestre, Mlle Blanche Rozan est toujours là, prête à s'asseoir devant les claviers et les pédales de l'orgue et elle manie le difficile instrument, non pas peut-être avec l'éclat de M. Bonnet lub M. Daene. Elle aussi préfère l'art à la virtuosite. C'est en musicienne accomplie qu'elle interpretować Haendla, Bacha i Mendelssohna.

Pracuje

Na organy

  • Cantabile (Hamelle: Paryż, 1902)
  • Komunia (Senart: Paryż, 1912). Dedykacja: À mon élève Mademoiselle Eugénie Bouzige.
  • Petite Prière (Senart: Paryż, 1912). Dedykacja À Monsieur l'abbé J. Joubert.

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